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 Reanbell Valdès |

Reanbell Valdès
⊶ Suricate grincheux ⊷
Reanbell Valdès
• Anniversaire : 25 décembre
• Age : 23 ans
• Résidence : Edge
• Localisation : Edge
Double compte : Tifa Lockheart & Lucrecia Crescent
Gils : 1192

Inventaire
:
Reanbell Valdès |
    Sam 7 Jan - 18:37



Reanbell
Valdès

   
Identité

   

SURNOM Rean, Reany, dame peste


   

ÂGE 23 ans


   

ANNIV' 25 décembre


   

TAILLE 1m60 (avec ses talons)


   

GROUPE Electron libre


   

ACTIVITÉ Mercenaire  


   

ARME 1 Pistolet B-N84


   

ARME 2 Uzi SMG-05


   

AVATAR Leanne - Resonance of Fate


   
 
 
CHARISME

« Pretty doll with kitty eyes »

      Jolie et adorable seraient les premiers mots qui nous viendraient spontanément à l'esprit pour la décrire. Une beauté ingénue et sans extravagance, simple et si particulière à la fois. Vous serez aussitôt captivé par ses grands yeux de chaton à la subtilité unique ; en effet, vous pourriez presque vous noyer dans les profondeurs océanique de son œil droit, d'un indigo sombre aux milles reflets miroitants, alors que son œil gauche lui, vous ferez perdre haleine de par sa vivacité de topaze et de saphir, clair et parsemé d'élégantes nuances bleutés. Deux joyaux dans un écrin de longs cils souvent mis en valeur par une touche de maquillage sombre. La forme légèrement bridé de ses paupières ainsi que son petit nez creux lui donne une physionomie presque asiatique, accentuée par la rondeur prononcé de son visage mais largement compensé par ses longs cheveux d'or et ses prunelles claires. Tout semble d'ailleurs menu chez elle, si ce n'est ses yeux qui en paraissent d'autant plus grands. Une véritable physionomie de poupée enfantine, avec sa petite bouche aux lèvres lisses et pulpeuses, sa peau clair et pure, ses petits membres délicats ; autant de traits graciles qui la font paraître bien plus jeune qu'elle ne l'est réellement. Son sourire, des plus rare au monde, en est d'autant plus précieux et ravissant lorsqu'il illumine finalement son visage, lui rendant cet air doux et angélique qui baignait autrefois sa personne.

Son regard ne manquera pas de vous faire chavirer lorsqu'elle le posera sur vous. Sûr et ferme dans ses meilleurs jours, il n'en gardera pas moins une pointe de vulnérabilité, imperceptible en temps normal. Sa fragilité secrète ne pourra clairement vous atteindre que lors des jours de pluie, ses prunelles se faisant alors plus douces et tristes, lui donnant un air de chaton abandonné dans un carton sous la bruine glacée de l’hiver. Sa voix sied à merveille avec ce visage de poupée et ces yeux de chat, douce et fine, elle peine à la durcir pour se rendre plus convaincante.

Toute en finesse et véritable poids plume, elle stagne bien malgré elle au mètre soixante – un mètre soixante et cinq millimètres pour être exacte, à ne pas négliger sous peine de la vexer – lui donnant l'aspect frêle et chétif d'une jeune fille sans défense, ce qu'elle n'est pourtant pas. Des épaules et des hanches étroites ainsi qu'une poitrine bien modeste – trop modeste – jouent un peu plus à la rajeunir. Elle compense sa petite taille par des bottes à talon, gagnant grâce à cela cinq bons centimètres et favorise généralement les couleurs clairs. Très changeante cependant, sa garde robe passe par tous les coloris, foncés, clairs, sobres ou flashis, ses cheveux ne manquent généralement pas de suivre son look du moment, pareillement pour ses jolies prunelles qu'elle cache bien souvent derrière des lentilles de contact colorées – au moins un sur deux, afin d'unifier la couleur de ses yeux vairons. Elle ne porte pratiquement que des jupes, parfois des shorts, mais son vêtement fétiche reste son long imperméable blanc et bleu, au colle décoré d'un nœud rendant un tout très élégant et confortable pour les missions les plus mouvementées. Étant des plus conquête, toutes ses tenues sont élaborées avec soin, chaque élément la composant étant méthodiquement choisi : chaussures, collants ou bas, jupe, haut et autres accessoires ne sont jamais assemblés au hasard. Le seul bijoux qu'elle porte sans distinction étant une chaînette en argent gravée à son nom, qui décore son cou délicat.

La fluette petite poupée qu'elle est ne porte pas un gramme de gras superflus, malgré tout ce qu'elle peut dévorer, son corps reste invariablement svelte et ferme en tout point, plus solide qu'il en a l'air, même si elle ne dispose pas d'une très grande force physique, elle en a toujours plus qu'il n'y paraît. Un mystérieux tatouage décore son omoplate droit, celui-ci étant la représentation très fidèle d'un papillon aux ailes azures et indigo. Le dessin est si soigneusement réalisé que le lépidoptère semble presque réel et près à bouger à tout moment. Mais ne vous fiez pas trop à son apparence, loin d'être une jolie petite barbie ou Charlotte aux fraises, elle se rapprocherait en réalité plus de Chucky.

« The maiden who likes to be alone »
    Ne vous fiez pas à son adorable bouille de petit chaton farouche. Si ses grands yeux de biche et son visage rond laisse imaginer une personnalité toute aussi douce et sucrée, il n'en est rien. Non, Miss Reany-la-teigne est l'incarnation même de l’irascibilité. Sans en être pourtant méchante, quoique, cela dépend vraiment des gens à qui elle à affaire, elle se trouve être des plus frigide. Elle impose systématiquement une barrière entre elle et chaque personne de son entourage, n'accordant jamais sa confiance, tout juste concède-t-elle un certain crédit à de rares collaborateurs ayant déjà prouvé leur professionnalisme et leur fiabilité. Elle ne compte donc aucun ami dans son répertoire et elle n'a d'ailleurs jamais eu l'occasion de s'en faire par le passé, si ce n'est, peut-être, ce brave petit Condchat. Plus qu'un choix sans vraiment refléter sa personnalité profonde, ce trait qui la caractérise n'est qu'un réflexe qu'elle ne contrôle pas toujours très bien. Si elle aime passer pour une fille indépendante qui n'a besoin de personne pour mener sa barque, qui n'apprécie pas la compagnie et qui s'avère particulièrement imbuvable, et si c'est effectivement ce qu'elle est devenue à force de pratiquer, Reanbell reste un petit chaton perdu. Son désir inavoué de réconfort et de chaleur humaine la pousse à être proportionnellement détestable à la gentillesse et à la bienveillance qu'on peut lui manifester. Tout cela la fait facilement passer pour une petite snob condescendante ;  pourtant, s'il y a bien une personne en ce monde qui ne porte jamais de jugement, c'est bien elle. Elle n'en détient tout simplement pas le concept, car elle ne se préoccupe pas du tout du mode de vie des gens qu'elle peut croiser … ni de leur apparence. Si elle n'éprouve aucun problème à différencier un visage d'un autre, elle serait bien incapable de les comparer en terme de « beau » « moche » « mieux » elle ne saurait non plus déterminer si telle ou telle personne semble plus « patibulaire » ou bien « sympathique ». Les codes qui caractérisent le féminin et le masculin lui échappe également.

Si elle donne souvent l'image d'une snob, d'une teigne imbuvable ou encore d'une odieuse grincheuse, elle suscitera également assez vite une sensation de ''bizarrerie''. Le fait est qu'elle n'utilise pas toujours les mots justes pour s'exprimer et son visage est très peu expressif, sans parler du fait qu'elle a bien du mal à comprendre tout ce qu'on lui dit, dans le sens où le figuré et le second degré sont deux concepts qui lui échappe totalement. Elle est bien parvenue à apprendre quelques « expressions », mais bien souvent, elle prend tout au pied de la lettre et réagit en conséquence sans recevoir d'explication en retour. Depuis qu'elle a découvert l'existence de la notion de « sarcasme » elle tente tant bien que mal d'en discerner lorsqu'on s'adresse à elle, faisant souvent fausse route.

Légèrement obsessionnelle, elle suit des règles très strictes en ce qui concerne le rangement de certains éléments de son appartement : ses armes, sa vodka, son réfrigérateur, sa bibliothèque, sa vidéothèque ainsi que son dressing son ranger avec minutie et dans une logique qui peut parfois échapper au commun des mortels au premier abord. Cela ne l'empêche pourtant pas de laisser ses magasine, ses chaussettes et ses petites culottes un peu partout. Elle s'avère également très perturbée par le changement, quel qu'il soit, sauf s'il s'agit de sa garde robe qu'elle renouvelle très régulièrement. Ses goûts en la matière sont d'ailleurs si étendus qu'elle en choquerait plus d'un, vouant autant de passion pour les vêtements chiques et raffinés que pour les trucs « moches ». Le pire, c'est que tout lui va, cela serait à en faire perdre la tête à cette chère Christina.

De manière général, Reanbell a un certain goût pour les choses peu conventionnelles ou « bizarres » que ce soit en matière de déco, de nourriture ou de toutes autres choses. Les chats aux faces écrasés, les jupes à motifs, les cocktails Vodka et lait pour chaton … les croquettes pour chaton aussi. Elle possède également une petite collection de bibelots abîmés qu'elle récupère dans les décharges publiques.

Elle semble donc presque toujours indifférente – à tel point qu'elle ne donne que rarement son nom, laissant la plupart de ses connaissances l’appeler comme bon leur semble - , voir insensible. Presque. Car si son visage est celui d'une petite teigne condescendante particulièrement imperturbable, on ne peut décemment pas en dire autant de ses yeux qui lui donne l'air d'une petite créature fragile et perdue et les jours de pluie ne font qu'accentuer cette impression, puisque cela la rend particulièrement morose. Elle n'a que rarement pu découvrir cette facette de sa propre personnalité, mais cette petite blonde ronchonne est également très possessive. Difficile de le savoir, car elle n'est pas matérialiste, mais enfant, elle avait déjà beaucoup de mal à supporter que son père adoptif s'occupe d'autres personnes qu'elle. Elle détestait ressentir ça, la jalousie, un sentiment qu'elle n'a jamais vraiment compris mais qu'elle trouvait juste désagréable … Elle espère bien ne plus jamais avoir à subir cela, une raison de plus de rester loin des autres.

Comme son apparence est décidément très trompeuse, ses goûts et ses activités de loisir – outre le shopping – ne correspondent pas le moins du monde à ce que l'on attendrait de cette délicate petite lady. Reanbell, c'est avant tout une geek, elle est accro aux nouvelles technologie, aux gadgets en tout genre et aux jeux vidéos. Elle adore également siroté de la Vodka en grignotant des croquettes pour chaton devant des séries de science fiction. Mais ce qu'elle aime par dessus tout et ce en quoi elle excelle plus encore que dans son métier de mercenaire … c'est le poker. Être impassible est un atout majeur dans ce jeu où la chance ne fait pas tout et ses lunettes de soleil ainsi que sa moustache factice ne l'ont jamais trahi. Oui, parmi toutes les choses « étranges » que Reanbell affectionne, il y a les moustaches (et les barbiches). Elle adorerait en avoir une vraie, mais elle doit se contenter d'en porter de factices – souvent en plastique uni, accessoire de déguisement grotesque pour le commun des mortels, le top du fashion pour elle.  Pour elle, ce n'est pas ''vivons d'amour d'eau fraîche'' mais de ''poker et de vodka''. Elle en boit pure tous les jours et pourtant elle vous soutiendra dure comme fer qu'elle n'est pas alcoolique – comme tous les alcooliques soit dit en passant – et que de toute façon ''c'est pas d'l'alcool la Vodka''. Elle apprécie encore plus le champagne cela dit. Elle a toujours eut une grande résistance à l'alcool, tout le monde sera d'ailleurs d'accord pour dire que ce n'en est plus humain. Cela tombe bien, car elle ne s'est jamais considérée humaine. Elle se fait facilement de l'argent de poche en affrontant des gros benêts à des jeux de beuverie, personne ne se doute en la voyant qu'elle tient aussi bien. Mais je vous assure que quand elle parvient enfin à être saoule, ça en vaut la chandelle. C'est très burlesque, le plus souvent elle fait la larve en marmonnant des choses incompréhensible, alternant entre crises de larmes et fou-rires incontrôlés.

Allant de pair avec ses difficultés à comprendre les conventions sociales voici d'autres concepts qui lui échappe totalement : la pudeur, la drague, le charme, le désir, le sexe. Tout ce qui porte de près ou de loin aux « choses de l'amour » en fait. Elle est incapable de trouver quelqu'un « beau » ou « attirant » et si elle est plutôt coquette, ce n'est absolument pas dans le but de plaire aux autres, mais simplement parce que l'activité de s'habiller et d'assembler divers éléments lui plais beaucoup. Alors si vous voulez la draguer, bonne chance, car il y a peu de chance qu'elle comprenne … et si, par malheur, vous parvenez à lui faire comprendre que vous recherchez un rapprochement intime et physique, préparez-vous à courir et vite. Lady Teigne ne supporte pas qu'on l'approche et encore moins qu'on la touche.

Si elle fut autrefois une petite fille effrayée de tout, elle est aujourd'hui plus que téméraire. Sa solitude et sa résistance naturelle la pousse constamment à se mettre en danger, comme pour provoquer le destin, elle chercher toujours les limites de son propre corps sans les avoir encore dépassé jusque-là. Elle est du genre droguée à l'adrénaline, et si elle apprécie le repos et qu'il lui arrive même de ne pas sortir de son lit pendant des jours, elle reviendra instinctivement dans le feu de l'action pour assouvir sa soif du risque. Oh, il y a bien une seule peur qu'elle n'a pas réussi à vaincre malgré toutes ces années … c'est sa peur panique de la Choucroute. Elle n'est pas non plus super rassurée lorsqu'elle voit des blouses blanches, il faut bien l'avouer, mais elle parvient parfaitement à se contrôler. En outre, elle ne supporte pas le silence complet, tout particulièrement lorsque celui-ci lui permet d'entendre ses battements de cœur, un son qui l'horripile depuis un traumatisme infantile ; il n'est donc pas rare qu'elle mette un bruit de fond constant lorsqu'elle se couche ou qu'elle a du temps à passer dans son appartement.

Elle dispose également d'une grande connaissance dans le domaine des armes à feu, se passionnant même grandement pour ces petits bijoux qui font ''bang''. Elle ne sort d'ailleurs jamais désarmée et son appartement regorge d'une véritable collection de pistolets, mitraillettes, fusils et autres colts en tout genre. Elle est devenue experte dans le domaine et ne manque jamais sa cible, ce qui la rend également redoutable aux fléchettes.  Mémoire Eidétique oblige, Reanbell retient toutes les informations qu'elle peut lire, entendre ou voir sans difficulté, ce qui lui donne souvent l'impression d'avoir le cerveau en surchauffe et lui vaut de longues isonomies. Ce n'est pas si facile à vivre, de ne rien pouvoir oublier. Cela lui a également valu un véritable don pour les mathématiques, lui permettant d'exécuter des calcules complexes de tête très rapidement. Plutôt douée en dessin, elle sera cependant incapable de faire preuve de créativité, ne pouvant que reproduire ce qu'elle voit ou a vu.
     
 

 
 
Fiche par Nika pour FFVII - LifeStream's Breath

https://www.deviantart.com/dark6nika
Reanbell Valdès
⊶ Suricate grincheux ⊷
Reanbell Valdès
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• Age : 23 ans
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Inventaire
:
Re: Reanbell Valdès |
    Mer 18 Jan - 10:13
Expérience

 
“Plus claire la lumière, plus sombre l'obscurité... Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres.”
(Jean-Paul Sartre)

Cela faisait si longtemps que j'errais sans pouvoir trouver la paix, si longtemps que je cherchais la seule chose qui pourrait me permettre d'enfin trouver le repos dans le cours de la Rivière … Ce que je cherchais me poussait à aller dans des recoins de plus en plus sombres, là où je manquai de me perdre à plusieurs reprises … Et puis un jour, il y a eu cette lumière. Je ne savais pas qui elle était, mais mon essence la reconnaissait, alors j'ai suivi ce petit papillon brillant comme une étoile … et je t'ai trouvé. Toi, pauvre petite chose qui venait tout juste d'ouvrir les yeux pour la première fois sur ce monde sordide. Le premier visage que tu vis alors ne fut pas le mien, ça n'a jamais été le mien, nous avons raté notre chance … Non, c'est Lui que tu as vu en premier ; Lui que je cherchais depuis si longtemps … Mais quelque chose m'empêchait de vous atteindre, quelque chose de sombre et puissant … et je crois que d'une certaine manière, c'est Lui-même qui m'en empêchait. Je ne sais pas si il pouvait sentir que je veillais sur vous … mais toi, tu le savais, pas vrai ?

Je t'ai regardé grandir dans ce monde qui n'est plus le mien, dans un monde qui n'aurait pas dû être le tien … Dans ce monde où tu n'avais même pas de mère. C'est cette grande capsule de verre qui ta donné naissance ? Comme le monde a changé, comme il est devenu étrange … Comme j'aurais aimé pouvoir te serrer dans mes bras.

Tu n'avais même pas de nom.

Pendant très longtemps on t’appelait juste « Vingt-Trois », car tu étais la vingt-troisième et dernière enfant à naître dans le cadre de ce qu'ils appelaient « le projet Phénix ». Ils cherchaient à rendre leurs soldats plus puissants, inépuisables et indestructibles, immortels … mais Lui, il cherchait bien plus.

Tu étais si petite, tu avais l'air si fragile ! Là où je suis, pleurer ne se manifeste pas de la même façon que sur le planché incarné de Gaïa, mais j'ai souvent éprouvé cette tristesse en te voyant si seule. En le voyant si seul, lui aussi. Mais que t'a-t-il fait … ? Si minuscule, toutes ces personnes en blouse blanche ne se préoccupaient que de ce qu'ils appelaient des « tests ». Tu as tellement pleuré … Je n'imaginais pas que cela pouvait être aussi déchirant. Il n'y a que dans ses bras que tu finissais pas te calmer, dans ses bras ou quand je parvenais à mettre assez d'énergie pour manifester ma présence. Je ne sais pas si tu m'entendais … mais sache que j'ai souvent chanté pour toi.

Tu grandissais mais tu avais toujours l'air aussi minuscule. Tes grands yeux vairons semblaient avoir peur de tout, sauf de Lui. Je ne sais pas si cela vient de tout ce qu'ils t'ont fait dans cette capsule de verre, mais tu as toujours eu une mémoire remarquable, alors tu te souviens sûrement de toutes les histoires qu'il t'a raconté. Le héros maudit Nadir et sa Reine des Glaces … tu t'en souviens, pas vrai ?
Je n'aimais pas qu'on te fasse du mal … et je ne savais pas qu'un être doté de conscience puisse être capable d'infliger tout cela à un autre être vivant. Ils prenaient ton sang et t'injectaient des substances étranges avec ces aiguilles énormes dans ton si petit bras … Et tu ne parlais pas, jamais, sauf à Lui … Si bien que ces gens étaient convaincus que tu étais atteinte d'un de ces troubles qui affectent la « communication socioémotionnelle » - je suppose que pour eux cela devait avoir beaucoup de sens -  à mes yeux, tu étais juste effrayée et tu n'avais aucune raison de bien vouloir communiquer avec des êtres qui te torturaient. Bon, tu ne parlais pas très bien, c'est vrai, mais c'est parce que tu manquais de pratique ! Tu as toujours été particulièrement brillante de toute façon, surtout en mathématique. Tu savais faire des choses incroyables avec les chiffres, avant même de savoir parler correctement. Je me souviens qu’il a fini par t'offrir ce carnet pour que tu arrêtes d'écrire tes calcules sur les murs de ta cellule …
Ta cellule. Une enfant ne devrait pas avoir à grandir dans un cadre aussi stérile. Un case blanche avec une simple couchette ! J'ai vécu d'un un environnement très rudimentaire, mais rien de comparable …

Tu as grandi ainsi pendant une dizaine d'année, sans même voir la lumière du jour ou le ciel. Cet endroit se trouvait sous la terre, apparemment, même les humains qui vivaient juste au-dessus ignoraient l'existence de ce lieu et de cette « élite » qu'ils appelaient Deepground. Tu as vu la plupart de tes camarades succomber aux traitements qu'ils vous infligeaient, ils vous avez conditionné à tel point que vous ne vous êtes jamais vraiment considéré comme humain et vous ne parliez pas de mort lorsqu'un des vôtres disparaissait, mais de « rebut ». Il t'arrivait de communiquer un peu avec les autres enfants, mais tu n'as pu te considérer amie que d'un seul et il ne faisait pas partie du même projet que toi. Sa particularité était de manipuler les souvenirs, ils faisaient en sorte qu'il s'exerce sur toi en raison de ta mémoire incomparable … et un jour il est parvenu à s'effacer de ta mémoire.

“Si le papillon s'est brûlé à la lumière, la lumière a connu les ailes du papillon et les a aimées.”
(Oria / Evangile de la colombe )

Il t'a beaucoup parlé du monde, en des termes peu flatteurs si ce n'est lorsqu'il évoquait un passé lointain. Il t'avait déjà rapporté des éléments du monde extérieur que tu considérais comme une sorte de légende, tu as été à la fois émerveillée et effrayée en voyant ta première fleur séchée et tu ne l'as jamais cru lorsqu'il t'a assuré que le chocobo qu'il t'avais montré en image existait vraiment.

Et un jour il t'a enfin emmené loin de cet endroit toxique, loin de ceux qui te faisaient du mal, qui prenaient ton sang et te privaient de tout pour observer ta résistance. Tu restais parfois plusieurs semaines enfermée sans boire ni manger, ils allaient même jusqu'à te priver d’oxygène … et avec ça ils t'obligeaient à te battre avec la même exigence que pour les autres qui étaient correctement nourri et même dopés avec ce qu'ils savaient extraire du sang de notre planète. Il aurait dû t'emmener loin d'ici beaucoup plus tôt … mais Lui aussi avait besoin de voir la preuve de certaines choses.

Il t'a montré le monde et ce dernier te terrifiait. Tu as hurlé si fort en voyant le ciel pour la première fois et il semblait impossible de te détacher de lui dès lors que tu n'avais pas un toit au dessus de la tête. Tu ne cessais de crier que tu avais peur de tomber … il a du t'expliquer le principe de gravité pour que tu commences à te rassurer. Mais tu avais peur de tout le reste … des fleurs, des chocobos, des verres à pieds … pour ces machines à quatre roues, ces « voitures », je ne peux pas te blâmer, cela n'avait vraiment pas l'air rassurant. Je peux également comprendre pour la choucroute, ce n'est déjà pas un plat très engageant, mais vu qu'en plus tu en a reçu toute une marmite brûlante sur la tête … il y a de quoi traumatiser.

Mais avant tout, tu avais peur des autres.

Tu avais cette manière adorable de disparaître complètement sous son manteau immense ou de mettre ta tête dans sa manche. Te voir t'épanouir à la surface a été à la fois magnifique et déchirant … parce que tu découvrais le monde, tu apprenais à le connaître, à ne plus le craindre … à le trouver beau, parfois. Parce que vous étiez tous les deux et que vous avez été heureux, au moins un peu, au moins quelques temps … mais que je n'étais pas vraiment là pour partager cette vie que l'on aurait pu avoir ensemble si tout avait été différent … Parce que j'aurais voulu moi aussi t'apprendre des choses : la musique et le nom des plantes par exemple ; parce que j'aurais voulu moi aussi pouvoir te border, te rassurer, te raconter les histoires qui avaient bercé mon enfance, te chanter les berceuses qui m'avaient aidé à trouver le sommeil …
Tu as finis par aimer sa voiture mauve et les chocobos … et tout le reste, sauf la choucroute. C'est ta curiosité sans borne qui t'a aidé à outrepasser ta peur, car tu avais soif de comprendre la nature de toute chose et les choses sont moins effrayantes lorsqu'on les comprend.

Tu ne pouvais plus continuer à te faire appeler Vingt-Trois, alors il t'a dit qu'il était temps de te trouver un véritable prénom .. Il a mis plusieurs jours à te convaincre de ne pas choisir « Jacinthe » pour des raisons que je comprends avec beaucoup de nostalgie, mais tu semblais bien décidée à trouver un nom de fleur. Tu ne pouvais pas connaître la Rinbaella Valdesa, cette fleure « à papillon » qui était déjà rare à mon époque avait déjà disparu depuis plusieurs siècles avant ta venue au monde … ça a toujours été ma fleure préférée, tu sais ? Elle était symbole de vie, totem de protection et très efficace en tant que remède. C'est Reanbell que tu as choisi.

Tu es Reanbell Valdès.

Mais cela ne dura pas très longtemps. Plus le temps passait, plus tes nuits étaient animées de terribles cauchemars. Certains marquaient même ta chair à ton réveil et il s'en rendit bien compte … Il avait beaucoup d'ambitions pour toi et je crois qu'en un sens il voulait te protéger … te préparer à la réalité cruelle d'un monde auquel, nous, personne ne nous avait préparé.

Alors il t'a abandonné … le seul moyen pour que tu te décroches de lui était de te faire croire qu'il était mort, alors c'est ce qu'il t'a fait croire. Brutalement, du jour au lendemain, tu t'es retrouvée seule dans les rues sordides de cette ville immense qu'ils appelaient Midgar. Seule et démunie. Tu avais environ onze ans, mais tu étais si chétive que tu en faisais facilement trois de moins. Tu es restée coupée du monde comme tu l'as toujours été, refusant de communiquer avec ces autres enfants aussi démunis que toi, car pendant très longtemps tu as persisté à vouloir l'attendre. Tu le pensais mort … mais le fait est que tu n'as jamais vraiment compris ce que cela voulait dire, pas vrai ? Cela faisait partie de ces concepts absurdes que tu ne parvenais pas à envisager, comme les histoires de couple, le second degré et bien d'autres concepts auxquels tu finirais pas être confrontée d'une manière ou d'une autre.

« La vie mettra des pierres sur ton chemin. A toi de décider si tu en fais un mur ou un pont »
(???)

Tu l'as attendu pendant des semaines, tu restais recroquevillée là, dans ce semblant d'abris en carton qui ne te protégeait ni du froid, ni de l'humidité des taudis de Midgar. Les gens ne faisaient pas attention à toi, l'invisible et tu ne faisais pas attention à eux … tu ne te nourrissais pas, mais tu continuais de subsister grâce à ce don … ou cette malédiction qui t'avait fait naître.
Un jour, une bonne âme est venue déposer des vivres juste devant toi, cette personne a essayé de communiquer avec toi et bien que tu sois restée muette, tu l'as écouté. Tu t'es enfin décidée à te relever, tu devais commencer à vivre, tu devais t'emparer de ta propre vie, car elle ne t'avais jamais appartenu jusque-là. Tu as commencé par observer le monde qui t'entourait, tu en as appris et mimé les codes. Tu as commencé à te battre pour ta vie et ton confort. Comme d'autres enfants de la rue, tu allais dans des endroits à la fois dangereux et inaccessibles pour un adulte afin de ramener des matériaux précieux que tu pouvais revendre.

Tu avais enfin repris ce qui te revenait de droit. Ta vie.

Tu as dû te battre contre des monstres, mais aussi contre des humains qui te voulaient du mal. Des personnes qui n'aimaient pas la rivalité … certaines sont devenues tes alliées par la suite – sans parler d'amitié, car si pour le coup tu comprenais le principe, tu t'y refusait farouchement. Tu ne voulais plus dépendre de personne et tu ne voulais plus accorder ta confiance à qui que ce soit. Tu voulais être seule … Mais tu ne l'as jamais été. Jamais vraiment. Je ne pouvais pas m'y résoudre … et Lui non plus. J'étais toujours là, sans que tu ne le sache … mais j'ai toujours été impuissante.
Je veillais sur toi, mais je n'ai rien pu faire ce jour-là. J'ai tout fait pour te hurler de ne pas suivre cet homme étrange qui te promettait des richesses si tu le suivais, mais tu l'as suivi … Il a essayé de te faire du mal, mais si je n'étais pas là pour te défendre, Lui, il était toujours là. Ce jour-là, il ne t'a pas permis de le reconnaître, mais il s'est débarrassé de cet homme immonde et a pris soin de toi. Il t'a offert une arme que tu ne quitteras plus jamais et tu pris la décision de devenir invulnérable. C'est les joues encore humides de tes larmes que tu te juras de plus jamais laisser qui que soit voir tes faiblesse ou le moindre de tes sentiments. Tu t'es encore plus coupé des autres …

Tu venais d'avoir quinze ans quand tu as finalement décidé de faire confiance à une seule personne. C'était une vieille dame qui venait souvent te voir dans ton abri en ruine, elle était douce et bienveillante … et tu as finis par aller vivre avec elle, car tu venais de te rendre compte qu'elle avait sûrement autant besoin de toi que tu avais besoin d'elle. Vous avez pris soin l'une de l'autre pendant quelques années, tu as commencé à devenir une véritable mercenaire, tu étais particulièrement débrouillarde. Tout allait bien dans le Secteur Sept, dans cette résidence où vous viviez toutes les deux … mais cela n'a pas duré.

“Ce que la chenille appelle la mort, le papillon l'appelle renaissance.”
(Violette Lebon)

Il y a eu une terrible explosion, rien de comparable à ce qu'avait pu revendiquer ce groupe « Avalanche » jusque-là. C'est tout un secteur de la capitale qui s'est effondrée et vous étiez en dessous … Après ce grand bruit, tout est devenu noir et tu ne t'es réveillée que plusieurs semaines plus tard. Tu as découvert le corps de cette femme qui avait pris soin de toi, celui de tous les autres résidents que tu appréciais aussi. Tu étais la seule encore en vie et tu ne comprenais ni pourquoi, ni comment. Tu as mis plusieurs jours encore pour revenir à la surface et lorsque tu es enfin sortie des décombres il y avait ce météore incandescent qui embrasait littéralement le ciel ! J'ai pu sentir ta terreur à ce moment là, tu as dû te demander si tu n'étais pas bel et bien morte, si tu n'étais pas enfermée dans une sorte d'enfer, un peu comme lorsque tes cauchemars te faisaient vivre les tourments des Ténèbres.

Les rues étaient désertes, alors tu as commencé à courir sans vraiment croire que tu pourrais échapper à cela. Sur le chemin tu as croisé cette petite fille en pleure, elle était par terre, paniquée, elle ne semblait pas capable de se relever. Elle devait avoir huit ans, peut-être moins … mais la voir t'a tout de suite déchiré le cœur. Tu avais l'impression de voir l'enfant faible et terrifiée que tu étais il y a encore quelques années. Tu t'es alors approchée d'elle et elle prit peur dans un premier temps, car tu avais exactement l'air de ce que tu étais à ce moment là : une revenante qui venait tout juste sortir de terre. Ton manque d'expérience avec les gens ne t'avait pas préparé à rassurer une enfant terrifiée et blessée, mais tu as quand même réussi à la calme suffisamment pour la prendre sur ton dos. Tu as commencé à nouveau à courir, mais tu n'allais plus n'importe où : tu cherchais un abri. Le temps te manquait, la terre avait commencé à trembler et le vent soulevait déjà des débris dangereux – et manquait presque de te soulever, toi. Tu es alors entrée dans la première maison que tu as pu trouver, il n'y avait pas de cave, alors tu déposas l'enfant dans une baignoire que tu recouvris d'un matelas pour tenter au mieux de la protéger … il y aurait pu y avoir de la place pour toi, mais tu voulais être sûre que ton abris de fortune tienne, alors tu es restée au-dessus pour maintenir ton dispositif et regarder par la fenêtre ce déluge qui s'abattait sur toi … Si nous ne faisions rien, cela en aurait été fini de ce monde …
Nous avons alors répondu à l'appelle d'une jeune femme qui portait en elle les restes du sang Cétra. Nous avons jailli des entrailles de la planète à travers la rivière de la vie. Nous avions tous une raison … Mais je l'ai fais pour toi et pour lui. Parce que je vous ai toujours aimé et parce que j'ai toujours aimé Gaïa … et que vous aviez besoin d'un monde en bonne santé pour vivre.

Cela n'a pas été sans conséquence.

En reprenant connaissance, la maison dans laquelle tu t'étais abritée n'avait plus de toit, mais le matelas était toujours en place. Tu le retiras, pleine de cet espoir d'avoir sauvé au moins une vie … mais la fille était inerte. Ce que tu vis alors te hante encore aujourd'hui, je le sais bien … Son corps avait été noirci par une substance visqueuse dont tu ignorais tout … Mais encore une fois, toi, tu étais intacte. Et tu ne comprenais toujours pas …

Tu as eu beaucoup de mal à te relever de tout ça. Tu te fis la promesse à nouveau de rester seule, pour de bon cette fois. S'entourer d'autres personnes, se laisser attendrir, s'attacher … tu estimais que cela n'en valait pas la peine, que c'était beaucoup trop douloureux. Tu es devenue plus distante encore qu'avant et même aigrie.

Tu passas les deux années suivantes à perfectionner ton exercice de mercenaire, tu t'en cachais bien mais tu faisais parfois bénévolement le ménage de monstre dans des zones fréquentés par ces enfants défavorisés. Tu venais même régulièrement dans certains refuges d'enfants géostigmates pour leur apporter des vivres et des soins …
Le jour où cet énorme Bahamut fut lâché en plein milieu de cette nouvelle ville : Edge – née des cendres de Midgar – tu étais dans un bar populaire à siroter cette boisson alcoolisée que tu affectionnais de plus en plus. Tu as regardé ce spectacle avec une impassibilité parfaite, terrassant de quelques balles les monstres qui avaient été lâchés dans les rues comme si ce n'était qu'une maigre formalité.

Je ne pensais pas cela possible … mais tu étais devenue encore moins expressive que moi.

Tes origines manquèrent de te rattraper l'année suivante. Malgré ta peur viscérale d'être reconnue et ramenée dans les laboratoires de Deepground où tu avais grandi, tu t'es tout de même battue aux côtés de cette organisation qui protège la planète depuis la chute du météore qui a mis un terme aux activités de ceux qui exploitaient le sang de Gaïa. Tu t'étais cachée derrière une des nombreuses fausses identités que tu te plaisais à revêtir parfois, changeant complètement d'apparence. J'ai été surprise de voir à quel point tu me ressemblais une fois affublée de cheveux noirs et d'une frange … Enfin, tu ressemblais beaucoup à celle que j'étais plus jeune.

Tu es retournée à ton quotidien de mercenaire, un quotidien solitaire, loin de tout … mais je ne pourrais pas voir la suite. L'intervention d'Omega a provoqué un grand chamboulement dans l'ordre des choses et la rivière de la vie n'a pas réussie à reprendre toutes les âmes que son Arme ultime avait commencé à emporter … Cette brèche est l'occasion pour moi d'intervenir. Je t'envoie un dernier cadeau : un petit compagnon aussi atypique que toi. Il n'a pas eu une vie facile, lui non plus, mais vous allez prendre soin l'un de l'autre. Je vais m'arranger pour que tu le trouves, ce sera la dernière chose que je pourrais faire avant de m'éveiller … et je sais que cela impliquera sûrement que j'aurais oublié beaucoup de chose sur toi et sur ce que j'ai vu depuis la Rivière pendant tout ce temps.

Même si je t'oublie, mon essence se souviendra toujours toi, car tu fais partie de moi.

Je sais aussi que tu ne pourras sûrement jamais prendre connaissance de tous ces mots … mais je voudrais pourtant que tu saches que tu as été aimé. Sincèrement. Inconditionnellement. Je voudrais que tu saches à quel point je suis désolée de ne pas avoir pu te protéger.

Tendrement,

La mère qui n'a jamais pu te mettre au monde.
 
 

   
   
   
   

 
 
Rôliste

 
 

PRENOM / PSEUDO Nika, Ookami, Louve, Dark6Nika


 

ÂGE 28 ans


 

ANNIVERSAIRE 12 juillet 1993


 

RÔLISTE DEPUIS ? +10 ans


 

CONNAISSANCE FF7 C koi sa Fvi ?


 

OU QUE COMMENT A la base j'étais partie me faire un sandwich quand un tardigrade m'a pris en otage et m'a emmené dans son vaisseau spatial. Du coup je lui ai mis une pâquerette dans le nez (bien sûr que si les tardigrades ont un nez !) et comme y avait plus de jambon, j'ai finalement décidé d'aller me coucher, c'est dans mon lit que j'ai trouvé ce forum, juste sous mon oreiller en peau de pampa.


 

VOTRE AVIS ça manque de canard.


 

AUTRE CHOSE ? J'ai dû poster en deux fois, c'était trop long éoè


 

CODE REGLEMENT Moikatoujoursfé


     

Fiche par Nika pour FFVII - LifeStream's Breath

https://www.deviantart.com/dark6nika
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